Aloïs, c'est qui ?


Aloïs réfère à cette expérience enrichissante d'un accompagnement de l'être cher frappé par la soi-disant maladie accolée à un nom célèbre.
À la faveur du vieillissement cérébral problématique, avec une culture des sentiments, bécothérapie et musicothérapie, l'on vit une expérience humaine inouïe.
Aloïs est ainsi le jumeau infernal de l'enfant joufflu, messager d'un infini amour insoupçonné...

Bécothérapie


La bécothérapie



Issue de ma propre expérience auprès de ma mère que j'ai résumée dans l'essai auquel il est fait référence sur ce blog, la bécothérapie est une méthode de soins entrant dans le cadre de la culture des sentiments.
Il s'agit d'une pratique alternative de l'acte de soigner tout comme la musicothérapie où compte moins le geste médical chimique que la thérapie du coeur et l'usage des effluves et ondes dont sont capables nos corps et nos esprits.
Néologisme formé à partir du bécot familial, la bécothérapie propose de faire entrer le soi-disant malade d'Alzheimer dans une science du coeur faite du meilleur en nous, le meilleur de nos sentiments d'amour. Elle suppose les bienfaits des gestes d'affection, des sentiments passionnés et passionnels, les pensées positives, de charité humaine à son plus élevé degré des armes efficaces au résultat certain et bien plus probant que les bénéfices attendus des traitements chimiques annulés sinon aggrave par leurs effets négatifs.

Extrait de : Guérir l'Alzheimer ! Manifeste hors poncifs

La méthode exposée ici peut sembler, à certains lecteurs obnubilés par les méthodes classiques, comme idyllique relevant d'une philosophie idéaliste ; cette originalité elle ne la renie pas ; mais celle qu'elle revendique hautement est d'être une philosophie scientifique. Loin de relever d'un cadre dogmatique ou mystique, de puiser ses assertions dans des expressions et des formules scolastiques ou doctrinaires, elle se base sur une démonstration positive et des faits connus, soit dans les sciences naturelles et la biologie générale, soit dans les données relatives à la constitution physiologique et psychologique de l'individu. 
Toutefois, notre objectif visant l'utilité, on a fait le choix d'exprimer les idées scientifiquement avérées avec le moins de complexité, le plus de simplicité et de clarté et le maximum de concision possible, évitant les longues analyses ou les développements didactiques pour faire œuvre de synthèse qui, dans toute sa rigueur scientifique absolue, doit être considérée en elle-même, en dehors et au-dessus des détails négligés ou volontairement omis. 
Basée sur des faits avérés et scientifiquement démontrés, notre recette n'en fait cependant pas la démonstration car tel n'est pas son propos, et c'est là l'affaire des analystes. Nous situant dans une perspective de recherche privilégiant « une approche métaphorique plus suggestive que démonstrative » selon les termes de Michel Maffesoli, figure emblématique de la sociologie moderne où « la démarche compréhensive consiste à être à l'écoute, voire à être en résonance » comme il le dit en avertissement de son ouvrage : L'Ombre de Dionysos, « incitant à une phénoménologie de l'inapparent », notre travail n'a pour seule prétention que de vouloir « donner à penser » selon toujours la terminologie maffesolienne et ce pour mieux agir, la pensée claire et déterminée étant le moteur de l'action la plus efficace et qui porte loin. Nous aurons l'occasion d'y revenir. 
Quoique rigoureusement expérimentale, notre œuvre se veut davantage une contribution à la recherche idéale d'une conception de philosophie générale, fondée sur les faits ayant servi amplement à des analyses tant analytiques que synthétiques, dans des domaines aussi variés que la psychologie, la physiologie, le magnétisme.
Certes, notre propos surprendra assurément les tenants d'une certaine pensée unique scientiste qui repose pourtant sur des dogmes, bien loin des vérités scientifiques. Or, comme l'affirme encore l'éminent théoricien de la Postmodernité dans la préface de son ouvrage : La République des bons sentiments, qu'il a intitulée : Le Courage de la vérité : « Il est sûr qu'en général l'on aime moins les vérités que la certitude. Ce qui est plus tranquillisant. »   
Car, et nous le dirons déjà ici avant d'y revenir avec plus de détails quand on aura à évoquer les implications s'y rattachant, les conceptions classiques d'une individualité humaine aussi bien physiologique que psychologique, bien qu'auréolées du magistère de la certitude, n'ont du scientifique que le nom.
En effet, les faits avérés montrent que l'organisme humain n'est pas un simple complexus cellulaire dont le dynamisme vital est interne, fruit de processus biologiques et du fonctionnement physiologique, mais bel et bien le fruit d'un dynamisme fondamental supérieur, organisateur, centralisateur et animateur, tout en lui étant extérieur, rappelant et amplifiant encore l'idée directrice déjà ancienne de Claude Bernard. Ils montrent aussi l'indépendance certaine entre l'être pensant et le fonctionnement de ses centres nerveux en totale opposition avec la conception psychologique classique du moi comme une simple synthèse d'états de conscience qu'il coordonnerait et dont l'unité relèverait purement de la biologie. 
Bien loin de pareille conception désormais dépassée, la conscience individuelle n'est point la simple somme de toutes les consciences des neurones ; notre personnalité est bien plutôt déterminée par le nombre, la nature, la disposition et les connexions réciproques de l'ensemble des éléments de notre système nerveux, ce qu'on nomme parallélisme psychophysiologique. Et ce qu'on ne compte plus des fréquents et fameux cas de lésions étendues dans les régions essentielles du cerveau humain, ne s'accompagnant d'aucun trouble psychique grave ni d'aucune restriction de la personnalité, suffisent à faire amplement la preuve de la persistance de l'intégrité du psychisme humain malgré l'altération des organes physiques. 
De même, les manifestations scientifiquement attestées aussi bien sensorielles, en dehors des organes des sens, que motrices, en dehors des muscles, ainsi que les manifestations issues de suggestions ou encore les matérialisations de ce qu'on appelle vulgairement les fantômes vont dans le même sens, à savoir qu'aussi bien en psychologie qu'en physiologie, on ne peut plus nier l'existence d'un principe directeur et centralisateur créant le moi conscient et maintenant sa permanence, ce moi ayant son unité essentielle hors la coordination d'états de l'organisme auquel il est lié.
Tout cela ne fait que confirmer les enseignements de nombreux phénomènes attestés relevant du domaine de la psychologie subconsciente où innombrables sont les exemples allant dans ce sens et relevant de l'activité du subconscient sous forme d'inspiration, d'intuition, de capacités innées et sous certaines formes de l'instinct que les spécialistes appellent cryptopsychie. D'autres, aussi avérés, relevant du domaine de la mémoire subconsciente des acquis de l'être humain par son psychisme conscient, ressortissent chez lui en automatismes sensoriels, en visions et en sons vocaux, ou moteurs par l'écriture mécanique et sous dictée typtologique ou enfin sous forme totale par la transe (que les spécialistes nomment cryptomnésie) ; sans parler encore de l'incarnation ou la personnification somnambulique et des différentes altérations de la personnalité sous forme de dédoublement et même de multiplication qui ne sont ni d'origine traumatique ni pathologique, mais relèvent d'un subconscient supranormal. 
Dans tous ces cas, il ne s'agit que de constats rigoureusement scientifiques et d'avis d'experts qualifiés de la psychologie et qui sont bien loin de la conception courante continuant cependant à dominer les conceptions relatives à l'appréhension de la personnalité humaine bien qu'elle représente désormais la part la moins importante du psychisme individuel.   
Or cette psychologie ainsi que la physiologie supra normale constituent déjà un monde dont l'exploration scientifique est à peine commencée, qui sera grosse d'enseignements comme le sont déjà ces actions purement mentales se faisant en dehors de tout intermédiaire physique avec de spectaculaires résultats comme la lecture de pensée, constatée notamment dans des états hypnotiques et médiumniques, la suggestion mentale faite par un magnétiseur sur un sujet sous hypnose et s'effectuant de proximité ou à distance, ou la télépathie qu'elle soit spontanée ou expérimentale comme le pressentiment, la prémonition, la divination ou les apparitions, et qui permettent de parler d'être subconscient.
Des implications de tout cela et d'autres nouvelles avancées des connaissances humaines il sera davantage question plus loin dans cet essai dont le but, la seule fin qu'il ait en vue, rappelons-le, est d'être utile, faire œuvre profitable pour tous ceux et celles appelés à être confrontés au malheur qui fut le mien, qui est celui de nombre d'autres personnes et qui est appelé à encore se généraliser d'après les constats les plus sérieux, la maladie se développant de plus en plus et frappant même plus précocement. 
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Ne voulant pas faire œuvre didactique, d'autres l'ont fait ou le feront, et ne cherchant rien d'autre que de livrer une expérience aux fins de témoignage en vue d'une contribution à aider les personnes confrontées à cette terrible maladie à mieux la gérer et, pour celles qui en sont atteintes, à profiter corrélativement d'une prise en charge meilleure, et de ce fait voulant atteindre le plus grand nombre des gens concernés, j'ai à dessein choisi la simplicité et la concision, l'objectif étant l'efficacité et l'utilité ; un pavé en la matière n'aurait fait que compliquer l'objectif retenu. 
S'attaquant à un domaine échappant pour l'essentiel encore aux domaines reconnus par la science officielle, relevant de cet inconnu qui, sans être saugrenu, ne manque pas d'intriguer et commence par étonner et même par être rejeté avant de finir par être reconnu et adopté, cet essai se veut un effort s'ajoutant à ceux des défricheurs dudit inconnu souvent négligé sinon snobé, où pourtant résident les progrès capitaux du futur. Certes, il pourra étonner, mais ses assertions reposent sur des faits rigoureusement attestés par des scientifiques au-dessus de tout soupçon d'angélisme ou de charlatanisme. Il est vrai, il fait la place belle à des aspects peu connus, mais non moins réels, de la personnalité humaine   ; or, la part de la psychologie subconsciente est aujourd'hui de plus en plus grande et s'impose, encore plus qu'hier l'approche simple de l'inconscient, à la doctrine scientifique classique qui ne peut désormais plus ignorer l'importance de cet inconscient dans l'instinct, dans l'innéité psychologique, dans le psychisme latent, et en un mot dans le génie humain.   
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La musicothérapie

Complément indispensable de la bécothérapie, la musicothérapie s'est désormais imposée comme thérapie alternative au traitement chimique. Aussi, alliée à la bécothérapie que je théorise, elle est de nature à alléger les poids de la soi-disant maladie.
Ces deux pratiques sont tout à fait possibles en accompagnement du traitement chimique actuel; mais leur bénéfice ne sera que plus grand sans la moindre prise médicamenteuse.
En s'ajoutant à la volonté de l'entourage du soi-disant malade et qui s'adonnerait à son accompagnement de ce dernier en un véritable sacerdoce, la musicothérapie et la bécothérapie sont en mesure de guérir l'Alzheimer, au sens de permettre au soi-disant malade de vire sans complications inutiles son pénible vieillissement et son déclin cognitif en en souffrant le moins sinon point, ce qui constitue le véritable sens du verbe guérir !