Aloïs, c'est qui ?


Aloïs réfère à cette expérience enrichissante d'un accompagnement de l'être cher frappé par la soi-disant maladie accolée à un nom célèbre.
À la faveur du vieillissement cérébral problématique, avec une culture des sentiments, bécothérapie et musicothérapie, l'on vit une expérience humaine inouïe.
Aloïs est ainsi le jumeau infernal de l'enfant joufflu, messager d'un infini amour insoupçonné...

Au cœur de la maladie (1)

Extrait de mon essai :
"Guérir l'Alzheimer ! Manifeste hors poncifs" 


Une philosophie de la vie


On l'aura compris, c'est en prenant en considération et en donnant leur place aux découvertes scientifiques en cours sur l'importance de l'inconscient, du psychisme, des radiations que dégagent chaque corps et leur influence sur les humeurs des hommes mais aussi sur les maladies que se situe notre démarche. Elle n'entend en aucune façon chercher à dénigrer la médecine ou nécessairement à célébrer des pratiques qui, bien que largement déconsidérées par la tricherie des guérisseurs, n'ont pas été abandonnées et ont trouvé leur réhabilitation dans des exemples historiques et scientifiques attestés de leur efficacité ; elle met juste l'accent sur la nécessité de tenir compte des solutions et recettes non orthodoxes, susceptibles d'être de grande utilité quoique ne faisant pas partie des recueils classiques de nosographie 
Nous pensons que l'ont peut et l'on doit s'ouvrir davantage aux philosophies spiritualistes dont l'apport est certain, ne serait-ce que pour nous en tenir à l'effet des vues religieuses sur la psychologie du croyant. Ne prétend-on pas ainsi soigner avec les textes sacrés qu'ils fussent issus du Coran ou de la Bible ?