Aloïs, c'est qui ?


Aloïs réfère à cette expérience enrichissante d'un accompagnement de l'être cher frappé par la soi-disant maladie accolée à un nom célèbre.
À la faveur du vieillissement cérébral problématique, avec une culture des sentiments, bécothérapie et musicothérapie, l'on vit une expérience humaine inouïe.
Aloïs est ainsi le jumeau infernal de l'enfant joufflu, messager d'un infini amour insoupçonné...

Guérir l'Alzheimer !


Quatrième de couverture

Guérir l'Alzheimer !
Manifeste hors poncifs 



Parler d'Alzheimer, est-ce l'appréhender en pathologie neurodégénérative, perte d'autonomie et pénibilité pour le malade, son entourage ? 
Est-ce avoir l'appréhension des troubles de la mémoire, l'extension aux moins âgés et l'incurabilité, le traitement retardant si peu une dégénérescence au pronostic de vie de près de dix ans ?
C'est l'appréhender en fatalité, négligeant l'essentiel : le droit au bien-être !
Refusant telle appréhension, l'essai cultive le meilleur des sentiments, se fondant sur une expérience d'initiatives basées sur le senti du malade et de son entourage. 
Avec une juste intelligence du mal, par la pratique éprouvée d'une science de l'amour, guérir rime avec souffrir le moins sinon point !