Aloïs, c'est qui ?


Aloïs réfère à cette expérience enrichissante d'un accompagnement de l'être cher frappé par la soi-disant maladie accolée à un nom célèbre.
À la faveur du vieillissement cérébral problématique, avec une culture des sentiments, bécothérapie et musicothérapie, l'on vit une expérience humaine inouïe.
Aloïs est ainsi le jumeau infernal de l'enfant joufflu, messager d'un infini amour insoupçonné...

Ce qu'il faut absolument avoir à l'esprit


Extrait de mon essai :
"Guérir l'Alzheimer ! Manifeste hors poncifs" 

À l'écoute de son cœur

Maladie encore incurable, l'Alzheimer est pour l'essentiel une désorientation spatio-temporelle du fait d'une perte de la mémoire ou accompagnant cette perte. Aussi, la première chose à ne pas faire pour un malade d'Alzheimer est d'éviter d'aggraver son mal en ajoutant à sa désorientation une perte de ses repères les plus anciens et l'éloignement de ses souvenirs les plus vieux.
Disons-le donc d'emblée : sortir le malade de chez lui, du cadre où il a passé le plus clair du temps avant sa maladie serait à ce titre le pire cadeau à lui faire, même si l'on pouvait penser, agissant ainsi, lui assurer un plus grand soin, une meilleure prise en charge.